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Vous trouverez dans cette rubrique tout les communiqués des groupes ultras français, voire de l'étranger, qui nous sont envoyés, ou que notre équipe a pu récupérer sur le forum.
Titre : Tout ça pour un drapeau???
Hier soir, on a touché le fond. Alors que l'OM avait assuré que le club de Fenerbahce était prévenu et qu'aucun supporter turc n'aurait accès a une autre tribune que la tribune qui leur était allouée. Alors qu'un dispositif policier exceptionnel était déployé. Alors que la France se dit pays des droits de l'homme. Alors que le peuple Grec est le peuple fondateur de notre belle cité. Malgré toutes ces raisons, d'innombrables supporters turcs étaient présent en tribune Jean Bouin (supposée leur être interdite selon cet article http://www.lephoceen.fr/infos-om/saison/l-om-previent-fenerbahce-les-supporters-turcs-de-fenerbahce-seront-tres-encadres-au-velodrome-106509). Ces mêmes supporters turcs ont pris comme une provocation la présence d'un drapeau Grec dans notre carré (Drapeau présent dans notre tribune depuis le début du groupe). Ils se sont mis a tout casser et à bombarder le virage de sièges. Au lieu de faire leur boulot et d'intervenir à l'encontre des turcs, la sécurité de l'OM a préféré nous accuser d'avoir (je cite le responsable de la sécurité) "déclenché un incident diplomatique". La bonne blague. Non content de nous enlever le drapeau grec, ils nous ont forcé à enlevé l'ensemble de nos bâches et ont forcé certains d'entre nous a quitter le stade. Pendant ce temps des supporters arborant les couleurs de fenerbahce se baladaient librement dans le virage. Nous tenons à affirmer certaines choses : |
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- Nous avons toujours suivi les directives que le club nous a donné et nous avons toujours su maintenir le dialogue. Nous ne comprenons pas le double discours qui nous est tenu ces dernières années et plus particulièrement au cours de cette saison.
- Ce drapeau n'était aucunement destiné à provoquer les turcs. Il est présent dans notre groupe depuis le début. Notre attachement à nos racines grecques ont toujours été clairement affiché. L'OM avait tout loisir de nous en informer avant le match. Ce que la sécurité à d'ailleurs fait à propos d'un drapeau Arménien, nous précisant au passage que "le drapeau grec était toléré". La Grèce est pour nous synonyme de la fondation et des racines de notre cité. Elle symbolise, à nos yeux, l'arrivée de la civilisation et de ce qui fondera plus tard la France. Son drapeau symbolise une part de notre identité et n'est quelque soit le contexte aucunement une provocation ou une insulte à l'égard de qui que ce soit.
- Nous pensons que l'OM et les pouvoirs publics ont trouvé le bouc émissaire idéal pour ne pas assumer leurs manquements pendant que les supporters turcs trouvaient l'excuse idéale.pour se défouler. Supporters turcs qui ont d'ailleurs pas eu besoin de drapeau pour s'en prendre aux gens présents en Jean bouin, tribune traditionnellement familiale. L'OM et les pouvoirs publics argumenteront surement en disant que le mal était déjà fait. Pour un club qui avait tout prévu et des autorités prêtes à accueillir l'Euro 2016, c'est vraiment pas de bol. Un groupe rassemblant quelques centaines d'adhérents/sympathisants en tout et pour tout serait, selon leurs dires, responsable d'un "incident diplomatique" et des divers incidents ayant émaillés la rencontre.
- Nous voulons ajouter que ce n'est pas la première fois que notre liberté d'expression est bafouée. Nous avions déjà du retirer ce simple message "moins de répression". Le message n'est évidemment pas passé.
- Pour rappel, l'origine du conflit turquie - Grèce remonte à l'époque ou la Grèce a obtenu son indépendance vis à vis de l'empire ottoman il y à bientôt deux siècles. Et puisqu'on nous subissons les conséquences d'une prise de position en voici une très claire : Nous nous montrons solidaires de tous les peuples désireux de jouir de leur indépendance et du droit à l'autodétermination. ET NOUS NOUS RÉJOUISSONS DE POUVOIR BIENTÔT FÊTER LES DEUX SIÈCLES D'INDÉPENDANCE DE LA GRÈCE!!!!
- Nous parlions plus haut du drapeau arménien que l'OM nous a interdit de brandir (drapeau que nous brandissons régulièrement tout comme celui de l'Italie, de l'Espagne, de l'Argentine, et de bien d'autres pays au fur et à mesure de nos rencontres et de nos affinités). Le refus de nous laisser agiter ce drapeau est bien sur en lien avec la négation du génocide arménien par l'état turc. Nous tenons à rappeler que ce génocide est reconnu par de nombreux pays dont le parlement européen ET LA FRANCE.
- Hier soir nous avons subi le racisme et l'OM s'en est fait complice. Hier soir l'OM nous a montrer que la violence pouvait faire passer les idées les plus nauséabondes. Et que cela n'empêche pas la sécurité de l'OM de se gargariser en prétendant avoir pris les bonnes décisions.
- Enfin, malgré ces prises de positions et malgré les agissements des supporters de fenerbahce. Nous n'éprouvons aucune haine à l'égard du peuple turc. Nous n'oublions pas que Phocée se situe dans l'actuelle Turquie. Nous éprouvons colère et dégout à l'égard de ceux qui prennent un drapeau comme prétexte pour excuser leurs agissements. Nous éprouvons la même colère et le même dégout à l'encontre de ceux qui se font complices de ces agissements, qui se retournent contre leurs propres supporters. Des supporters agissant de façon légitime et respectueuse. Et bien sûr contre ceux qui font payer le poids de leurs erreurs à ces mêmes supporters.
ET NOUS DEVRIONS DIRE MERCI??????
JAMAIS!!!!
L’histoire se répète : ce week-end notre Olympique rencontre le Paris Saint-Germain, au parc des princes et alors que notre équipe joue le premier rôle dans le championnat, nous ne serons pas du voyage. Sans surprise, ce match est une nouvelle fois placé sous le signe de la répression avec comme arme une restriction de déplacement associée à une tarification exorbitante. Et ce ne sont pas les 100 places supplémentaires allouées aux supporters marseillais qui feront passer la pilule, d’autant plus qu’au passage, elles subissent une petite augmentation (55 €).
Nous avons désormais 30 ans, 30 ans dédiés à l’Olympique de Marseille, 30 ans d’une ligne de conduite qui vise à défendre notre idéal, notre vie d’Ultra et pour cette raison nous ne pouvons accepter ces conditions, que nous soyons premiers ou derniers ! C’est donc avec le cœur lourd que nous soutiendrons l’OM depuis Marseille. Cette décision est difficile car elle prive notre équipe d’une partie de son soutien mais elle est nécessaire pour pouvoir continuer à vivre notre passion partout et toujours.
Pour nos valeurs, pour nos idées, pour nos convictions… pour que l’histoire continue !
ALLEZ L’OM !
ULTRAS MARSEILLE
L’Olympique de Marseille et les groupes de supporters se sont pliés à toutes les exigences de la Préfecture de Haute-Corse pour que le déplacement à Bastia se passe dans les meilleures conditions. Le contrat a été rempli côté marseillais et personne ne pourra dire le contraire, de la Préfecture au Sporting Club de Bastia...
Ce matin, dans un communiqué, le Ministère de l’Intérieur condamne fermement les violences délibérées qui ont eu lieu samedi soir aux abords du stade Furiani, avant et après le match de football entre le Sporting Club de Bastia et l’Olympique de Marseille. 44 policiers et gendarmes ont été blessés.
Nous tenons à apporter des explications suite à la désinformation totale sur le sujet face au silence de la Préfecture, de certains journalistes et surtout du Sporting Club de Bastia.
Les 44 blessés du côté des forces de l’ordre correspondent uniquement à des affrontements avec les supporters bastiais suite à la volonté d’attaquer le bus des joueurs de l’OM. Puisque le Ministère de l’Intérieur ne le précise pas, nous tenons à informer qu’au moment des incidents, les 90 supporters marseillais n’avaient toujours pas posé les pieds sur le sol Corse, l’avion ayant atterri à 19h40 à l’aéroport de Bastia.
Notons au passage que pendant près de 45 minutes, les supporters marseillais sont restés sur le tarmac au pied de l’avion, dans deux bus à la chaleur étouffante, sans climatisation, sans eau à disposition et sans toilettes.
C’est seulement à 21h, heure du coup d’envoi, que les supporters phocéens ont pu prendre place dans le parcage visiteurs !
Tout au long du match, certains supporters corses et certains responsables des stadiers bastiais ne vont cesser de proférer des insultes racistes et des crachats envers le parcage marseillais. Un comble quand on voit la composition de l’équipe bastiaise sur le terrain ! Ce n’est pas la première fois que les supporters bastiais excellent dans les insultes racistes. Comme à chaque fois, la LFP ferme les yeux et devient automatiquement complice de ces attaques raciales qui n’ont rien à faire dans un stade de football.
Mais c’est après la rencontre que le plus grave va se passer. Le silence des médias sur cet épisode est assez troublant. Un bon nombre était encore présent en tribune de presse quand le « caillassage » du parcage marseillais a commencé. Pendant plus de 30 minutes, sans aucune intervention des forces de l’ordre, les 90 supporters marseillais coincés dans leur cage vont subir des rafales de cailloux venant de la voie ferrée qui longe le stade de Furiani. Un stadier de l’OM sera blessé à la tête. Pendant ce temps, sur la pelouse, des dizaines de stadiers du Sporting Club de Bastia vont se réjouir de la situation, continuant au passage de glisser quelques observations primaires, le sourire aux lèvres ! Puis c’est au tour de dizaines de bombes agricoles de venir s’échouer dans la tribune. La tension monte et un responsable de la sécurité de Bastia va jusqu’à se permettre de mettre des coups de pieds dans les grilles en proférant des menaces.
Du haut de la tribune nous allons alors observer une scène surréaliste. Ce même responsable, accompagné de plusieurs stadiers, va aller discuter avec les supporters bastiais en dehors du stade pour mettre au point un plan d’attaque et leur ouvrir les grilles. Quelques minutes plus tard, armés de bâtons, de fumis et de bombes agricoles, ces mêmes supporters bastiais, mécontents de ne pas nous avoir atteints de l’extérieur, vont se retrouver dans le stade à côté du parcage marseillais. D’un côté, 90 personnes impuissantes dans une cage, et de l’autre, des supporters armés et des stadiers agissant aux yeux de tout le monde, dont le délégué de la LFP, en toute impunité ! Un délégué de la LFP qui va d’ailleurs profiter d’une accalmie pour oser venir nous expliquer que nous sommes en sécurité dans le parcage et qu’il fallait ne pas répondre aux provocations et attendre que la situation s’apaise. Nous lui avons rétorqué de venir attendre avec nous dans le parcage si la sécurité était optimale. Le sourire aux lèvres, accompagné d’un responsable du club de Bastia, il déclina notre invitation. Notre situation ne semblait pas lui déplaire.
Enfin, l’ordre va être donné aux forces de l’ordre de prendre en charge les supporters marseillais pour rejoindre les bus. Des bus qui arriveront à l’aéroport les vitres brisées après une série de « caillassages » tout au long du parcours montrant l’incompétence totale des têtes pensantes en charge de la sécurité. Au lieu de faire de la communication, le gouvernement ferait mieux de se poser les bonnes questions.
Nous avons découvert sur le site officiel de l’OM une photo montrant les supporters bastiais à l’arrivée du bus de l’OM lors des affrontements avec les forces de l’ordre. Ce sont les mêmes qui ont attaqué le parcage après le match. Ce sont donc les mêmes qui discutaient avec un responsable de la sécurité de Bastia. Faut-il encore des exemples pour pointer du doigt le club corse ?
Est-ce que l’Olympique de Marseille doit porter plainte contre le Sporting Club de Bastia ? La direction de l’OM porte plainte tout au long de l’année contre ses propres supporters pour un simple usage inoffensif d’engin pyrotechnique. Il serait temps maintenant que chacun prenne ses responsabilités pour stopper cette violence et ce racisme qui détruisent le football depuis des décennies.
Les South Winners.
Les South Winners tiennent à réagir suite aux incidents qui ont éclaté à la gare de péage de Bollène avec les supporters lyonnais des Bad Gones lors du déplacement des marseillais à St Etienne. Nous ne cautionnons pas ces violences qui nuisent à l’image du groupe, à l’Olympique de Marseille, au mouvement ultra et au football français. Il est important de n’oublier aucun détail pour juger les responsabilités de chacun. Beaucoup de preuves de nos dires seront facilement vérifiées par les vidéos du péage. Les South Winners n’avaient pas d’autres choix que de se défendre face à l’attaque des lyonnais pour leur sécurité et celles des adhérents présents.
Tout d’abord, il est très étonnant de voir le déplacement des lyonnais à Nice autorisé. Fin mars, les marseillais avaient été interdits de déplacement à Nice sans raison valable et, à l’époque, les autorités nous avaient précisé que les mesures seraient aussi prises pour les autres matches à risque qui se dérouleraient à Nice, dont Nice / Lyon… Non seulement elles n’ont pas été prises mais en plus, entre temps, les lyonnais se sont fait remarquer le mois dernier en attaquant les supporters stéphanois des Magic Fans. De lourds antécédents qui nuisent au monde du football dans un contexte où les autorités n’attendent que cela pour appliquer leurs mesures répressives. Ce samedi, les supporters lyonnais ont dû faire demi-tour après le report du match Nice / Lyon. Les autorités savaient que les marseillais étaient en route vers St Etienne. Même si cela n’excuse pas les débordements, nous sommes en droit de nous poser la question sur les problèmes de logistique. Par prévention, on nous interdit des déplacements de façon abusive, mais par contre on laisse des lyonnais et des marseillais rouler dans le même sens d’autoroute à la même heure.
Il est très important d’expliquer pourquoi le péage de Bollène n’est peut-être pas un concours de circonstances. Lors de tous les déplacements, quand nous devons emprunter l’autoroute du soleil, les South Winners s’arrêtent à ce péage pour récupérer des adhérents. Bollène est aussi un point de ramassage habituel d’une section de supporters stéphanois. En résumé, tout le monde savait qu’il y avait de fortes chances de voir à cette heure-ci des marseillais et des stéphanois à ce péage. Il est arrivé dans le passé que les bus marseillais et stéphanois se croisent sans qu’il y ait d’incidents. Les enquêteurs devront bien regarder l’heure à laquelle les lyonnais ont été avertis du report du match à Nice et leur position exacte sur l’autoroute.
A notre arrivée au péage, un bouchon s’était formé. C’est à ce moment-là que le bus des lyonnais et celui des marseillais se sont retrouvés à proximité. Jusqu’au début de l’attaque, les South Winners ignoraient la présence des Bad Gones. Soudain, alors que tous les South Winners étaient à l’intérieur du bus, les lyonnais, armés, ont attaqué le bus : pare-brise et vitres latérales éclatées, barres en fer, canettes, essuies glace arrachés pour empêcher le bus de repartir sous une pluie diluvienne. Certains lyonnais n’ont pas hésité à faire des signes nazis et proclamer des insultes racistes. Les images du péage le confirmeront et contrediront les affirmations du parte parole des Bad Gones (Yohann). Un parte parole qui, pour se couvrir et justifier son attaque, n’a pas hésité à mentir en affirmant que les marseillais étaient équipés de couteaux. L’attaque était bien huilée alors qu’aucun Winners n’était sorti du bus. Alors comment faire ? Rester assis en silence et se faire lyncher dans notre propre bus ? Malheureusement, nous n’avions d’autres choix que de nous défendre, pour préserver notre bus, mais surtout pour nous protéger. Il n’y avait pas d’autre issue.
Plusieurs médias ont souligné que les marseillais avaient pris la fuite avant l’arrivée des forces de l’ordre. Des images de TF1 prouvent le contraire. Des images qui montrent également que les lyonnais étaient armés et organisés, et non pas égarés vu le nombre conséquent qu’ils étaient. Comment justifier la centaine de supporters lyonnais présents sur la fin des affrontements ? Pour cesser ces affrontements, les policiers ont ordonné aux South Winners de regagner leurs bus et J9 et d’évacuer en urgence les lieux. Lors du départ précipité, les lyonnais ont poursuivi leurs attaques (là encore les images de TF1 le prouvent) et se sont mis en travers de la route. Les bus ont pu passer mais le J9 n’a pu éviter de percuter des supporters qui voulaient à tout prix s’interposer et mettre leur propre vie en danger.
Ces images n’ont rien à faire dans le paysage du football français. Le mouvement ultra est encore pointé du doigt. Mais il est important de faire la différence entre des supporters partant à St Etienne pour chanter pour leurs couleurs, les marseillais, et des hooligans qui descendaient au départ en découdre avec les niçois, et qui, à l’arrivée, ont voulu se faire des marseillais ou des stéphanois à Bollène. Nous sommes vraiment désolés d’avoir fait subir ces scènes de violence à tous les usagers de la route qui étaient présents au péage. Nous nous sommes fait attaquer, nous nous sommes défendus. Nous ne sommes pas des enfants de cœur mais nous connaissons nos valeurs et vivons notre passion.
Les South Winners sont des ultras, pas des hooligans…
Beaucoup de supporters – comme la majorité des français - ont cru au renouveau avec l’arrivée au pouvoir de la gauche. Nous espérions la fin d’une politique ultra répressive imposée dans les stades en France et dictée par les Sarkozy, Hortefeux ou Guéant en étroite collaboration avec la Ligue de Football Professionnelle. Nous étions loin de nous imaginer qu’un homme de « gauche » allait mener une politique contre le mouvement ultra encore plus absurde et violente...
Ce jeudi, nous venons d’avoir le parfait exemple d’un ministère voulant imposer une dictature à des supporters qui ont pour crime de suivre leur équipe avec passion. Pour le match Nice / OM, tous les voyants étaient au vert : heure de la rencontre, avis favorables des deux clubs, des Préfectures, effectifs des forces de l’ordre disponibles pour assurer la sécurité. Comment peut-on en arriver à un tel revirement de situation avec cet arrêté ministériel ? Seul Manuel Valls le sait.
Manuel Valls et Marseille. Une longue histoire de communication avant tout pour essayer de soigner son image. Mais une histoire sans résultats. Le sang de nos minots continue de couler dans les rues de notre ville et la seule préoccupation de Manuel Valls est d’interdire, contre l’avis des spécialistes sur le terrain, les marseillais d’aller supporter leur équipe à Nice !
Le planning de la semaine nous montre bien que tout était prémédité afin de laisser le moins de temps possible au club et à ses supporters pour se défendre. On accepte et on officialise le déplacement le lundi pour une annulation ministérielle le jeudi, trois jours avant le match. Une vulgaire provocation bien loin d’un raisonnement d’énarque. La volonté de pousser le supporter à bout pour le mettre à la faute et arriver à la dissolution des associations.Les South Winners ont saisi le tribunal administratif pour faire annuler cette interdiction. Les avocats plaideront ce samedi. Les supporters marseillais ont été exemplaires lors des deux déplacements au Parc des Princes. Nous avons joué le jeu malgré le quota illégal de places qui nous était réservé. La LFP et les pouvoirs publics nous ont félicité. Qu’avons-nous en remerciements ? Une interdiction absurde, sans raisons recevables, de représenter nos couleurs à Nice. Sommes-nous vraiment dans le pays des droits de l’homme ? La droite ou la gauche gouvernent par la répression… La répression mènera tôt ou tard à une rébellion !
Nos rivalités doivent être mises de côté, il est tant que le mouvement ultra en France retrouve une certaine cohésion pour lutter ensemble face à cette répression !
Au bout de sa saison catastrophique, l'OM aimerait se retrouver au Stade de France face au PSG en finale de la Coupe de France. Mais les prestations affligeantes et désastreuses s'enchainent au gré du championnat.
L'an dernier, notre groupe avait décidé de ne pas se déplacer dans la Capitale pour dénoncer les conditions inacceptables de déplacement.
1984-2014 : il y a 30 ans, la naissance du Commando Ultra à Marseille.